« Né dans cette ferme bretonne, formidable source d’imaginaire pour mes jeux d’enfants, je suis l’aîné et je ne reprendrai pas la ferme.
Longtemps subi, être « le « bouseux » et le « pédé » m’ont permis de faire le pas de côté nécessaire à ma survie. Devenir artiste plasticien performeur pour très vite y revenir, y faire bouger les lignes de l’intérieur en s’imposant aux regards et en montrant ce monde rural différemment.
Transformer la honte en fierté.
Dans le fumier j’ai trouvé les paillettes. »